Cage, after chance theory

chance theory ist genauso caged, wenn sie als kunst- oder anderes prinzip angewendet wird : langweilig. der tiefe schock ob der irrsinnigen zufälligkeit der ereignisse (jean pauls reaktion auf den tod seines jugendfreundes, schopenhauers erschüttertheit angesichts der galeerensträflinge, ludwig tieck in einer kindheitserinnerung) ist unüberwindbar, unaufhebbar : es ist so : der schock bleibt. chance theory als stilmittel verläuft sich im ‘everything is real’ : ohne die einsicht, den schritt, den cage vielleicht beabsichtigt hat : zen : nichts als realität. duchamps ‘nous nous cageolions’ ist mindestens, vor john cage, hübsch : ‘nous’ griechisch gelesen mit dem ‘wir löwenkäfigen uns’. (hab zwar grad vergessen, was ‘nous’ auf griechisch so alles bedeutet : stimmt aber alles : genau.)

> cage, john

[mvs:061011]

capitalism and marxism explained by a cat

capitalism

SEw capitalism01
SEw marxism01

marxism

[mvs:98....]

cats

nothing compares to them - and / but cats are the metaphor and lot more of / in my life. i (ab)use them (cats) all the time to help me to understand myself. and there is nothing more comfortable than living with cats. (but why do they pee on my pillow? one of the big riddles unsolved so far. (not that all of them celebrate that ritus : the cats i’m living with right now are quite behaved re: pissing. they’re mostly puking.))

> wenn ich mal gestorben bin ... > life is strange: more to follow

[mvs:990703/090529]

chappeau!

na ja.

> sockel inverted

[mvs:1977/2005]

Charron, Pierre

geboren in paris 1541, gestorben in paris 1603. jurist beider rechte (chantre & chanoine), theologe mit später priesterweihe (1576). er ist ein freund von michel montaigne und darf nach dessen tod sein wappen führen.
beliebter und begehrter prediger. hofprediger von königin margarete von navarra (margarete von valois, die nicht blutsverwandt mit der margarete von navarra des heptamérons ist).


man darf da ja mal den grand dictionnaire de l’histoire von moréri zitieren (auszugsweise wenigstens) :
„C’etoit un bon homme, sage, & craignant Dieu, qui préchoit avec zele, bien que quelques Auteurs aient parlé tres desavantageusement de sa personne & de ses écrits. Pierre Charron laissez trois Ouvrages, des discours de la Divinité. Les trois Veritez. Et de la Sagesse. M. de Balsac disoit que dans se dernier, Charron n’a été que la Secretaire de M. du Vair & de Michel de Montagne, jusq’à se sevir de leurs propres paroles. Le Sieur Chanet Medecin a fait un Livre intitulé, Considerations sur la sagesse de Charron, dans lequel il attaque avec beaucoup de vehemence la doctrine & les sentimens d’un homme mort qui n’etoit plus en état de se défendere. Ces sortes de victoires imaginaires coûtent peu, mais aussi ne sont-elles pas glorieuses. Scipion Dupleix s’emporte aussi brutalement contre lui, à son ordinaire; & P.Garasse a dit aussi de mal de Charron, le faisant passer pour Patriarche des ces pretendus esprits forts de son siécle, qu’ils etoit mis en tête de combatre dans sa doctrine curieuse & dans quelques autre écrits. Mais le grand zele emportoit quelque fois bien loin de Pere. D’un autre côte beaucoup de gens d’esprit, d’honneur & de probité se sont declarez pour Charron. M.Naude a dit dans sa Bibliographie qu’il estimoit si particulierement, qu’il le preferoit à Socrate : Aussi pour finir ce discours par les mêmes paroles de l’Auteur de la Bibliothéque Françoise, il ne faut pas croire qu’un homme de bonnes moeurs comme Charron, dont la vie étoit sans tâche & qui étoit dans une moderation exemplaire, ait eu aucune mauvaise intention dans ses écrits.


[hier noch bayles kommentar zu moréri, den er ja überall wo es auch nur ansatzweise möglich ist, korrigiert und als nicht ganz so seriös bezeichnet. das kann ja aber teilweise sein, weil bayles dictionnaire das konkurrenzunternehmen zu moréris dictionnaire war und er schon dazu schauen musste, dass sein werk abnehmer findet. diese beiden grossen dictionnaire verkauften sich aber beide wunderbarst bestens – und von konkurrenz war eigentlich nicht mehr viel übrig, weil sie zwei völlig verschiedene denkweisen repräsentieren: moréri die konservative, kirchen- und christentumtreue sicht auf die welt, bayle die skeptische, kritische, tendenziell unreligiöse. moréri erzählt tatsachen, wie sie ihm wahr scheinen, bayle zitiert fakten und meinungen, die sich durchaus widersprechen können und dürfen. bei ihm ist der leser aufgefordert, sich eine eigene meinung zu bilden, moréri kann man ohne zu denken ins traditionelle weltbild aufnehmen. also bayle: Le mal est & le grand desordre, que de cent mille Lecteurs, a peine y en a-t-il trois dans quelque siecle que l’on choisisse, qui soient capables du discernement qu’il faut faire lors qu’il s’agit de juger d’un Livre où l’on opose les idées d’un raisonnement éxact & metaphysique, aux opinions les plus communes. J’admire que Monsr. Moreri ait pris le parti de Charron; caar il aurait pu se trouver enveloppé dans la critique que la Taille-douce qui est au devant du Livre de la Sagesse expose aux yeux du public. Il semble que se soit une Figure favorable aux Pyrrhoniens.]

bild titelkupfer sagesse.

SEw Charron Sagesse2

und was charron dann zur (unsterblichkeit der) seele sagt: discours chrestiens p.841 (sic = 184) – 187. jaques vilery, paris 1635.
Il reste encore le dernier point de l’ame, sa separation d’avec son corps, laquelle est de diverses sortes & genres, l’une & ordinaire est naturelle par mort, cette-cy est differente entre les animaux & l’homme : Car par la mort des animaux l’ame meurt & est aneantie selon la reigle qui porte, que par la corruption du subject la forme se perd & perit, la matiere demeure. Par celle de l’homme, l’ame est bien separée du corps, mais elle ne se perd, ains demeure, d’autant qu’elle est immortelle.


L’immortalité de l’ame est la chose la plus universellement, religieusement (c’est le principal fondement de toute religion) & plausiblement retenuë par tout le monde; ientends d’une extreme & publique profession : ear d’une sericure, interne & vraye non pas tant, tesmoin tant d’Epicuriens, libertins, & mocqueurs. Toutesfois le Saducéens, le plus gros Milours des Iuifs, n’en faisoient point la petite bouche à la nier : la plus utilement creue, aucunement assez prouvée par plusieurs raisons naturelles & humaines, mais proprement & mieux estabie par le ressort de la religion que par tout autre moyen. Il semble bien y avoir une inclination & disposition de nature à la croire : car l’homme desire naturellement allonger & perpetuer son estre, d’où vient aussi ce grand & furieux soin & amour de nostre posterité & succession : Puis deux choses servent à la faire valoir & rendre plausible, l’une est l’esperance de gloire & reputation, & le desir de l’immortalité du nom, qui tout vain qu’il est a un merveilleux credit au monde. L’autre est l’impression que les vices qui se derobent de la veuë & cognoissance de l’humaine iustice, demeurét tousiours en butte à la divine, qui les chastiera voire apres la mort, ainsi outre que l’homme est tout porté & disposé par nature à la desirer, & par ainsi a croire, la iustice de dieu conclud.
De la nous apprendrons y avoir trois differences & degrez d’ames, ordre requis à la perfection de l’univers. Deux extremes, l’un de celles qui estant du tout materielles, plongees, enfondrees & inseparables de la matiere, ainsi avec elle corruptibles, se sont les brutales: l’autre au contraire de celles qui n’ont aucun commerce avec la matiere & le corps, comme les Demons immortels. Et au milieu c’est l’humaine, qui comme moyenne n’est du tout attachee à la matiere, ny du tout sans elle, mais est ioincte avec elle, & peut aussi sans icelle subsister & vivre. Cest ordre & distinction est un bel argument por l’immortatlité. Ce servoit un defaut & defrmité trop absurde en nature, honteuse à son auteur & ruineuse au monde qu’entre deux extremes le corruptible & incorruptible, il n’y eust point de milieu, qui fust en partie & l’un & l’autre, il en faut par necessité un qui lie & ioigne le s bouts & n’est autre que l’homme. Au dessous les ames infinis & du tout materielles, est ce qui n’en point, comme les pierres: Au dessus les plus hautes & immortelles, est l’Eternel unique Dieu.


L’autre separation non naturelle ny ordinaire, & qui se faict par bouttees & par fois, est tres-difficile à entendre, & fort perplexe: C’est celle qui se fait par extase & ravissement, qui est fort diverse, & se fait par moyens fort differens: Car il y en a de divine, telles que l’Escriture nous rapporte de David, Zacharie, Esdras, Ezechiel, S.Paul. Il y en a de demoniaque, procuree par les demons & esprits, bons ou mauvais, ce qui se lit de plusieurs come de Iean Dus, dit l’Escot, lequel estant en son extase trop longuement tenu pour mort, fut porté & ietté en la terre, mais comme il sentit les coups que l’on lui iettoit, revint a soy & fut retiré: mais pour avoir perdue le sang & la teste casse, il mourut tost de tout. Cardan le dit de soy & de son pere. Et il demeure bien verifié authéntiquement en plusieurs & divers endroits du monde, de plusieurs & presques tosiours populaires, foibles, & femmes possedées, desquels le corps demeurent non seulement sans movement & sans pouls de coeur & des arteres, mais encore sans sentiment aucun des plus cruels coup de fer & de feu, & puis leur ames estant revenües ils sentoient de tres grand douleurs, & racontoient ce qu’elles avoient veu & faict fort loing de là.


Tiercement, il y a l’humaine qui vient ou de maladie qu’Hypocrates appelle sacree, le vulgaire mal caduc: Morbum comitialis, auquel l’on escume par la bouche, qui est marque, laquelle n’est point aux possedez; mais en son lieu il y a une puante senteur. Ou des medicamens narcotiques, stupefians & endormissans. Ou de la force de l’imagination qui s’efforce & se bade par trop en quelque chose, & emporte toute la force de l’ame. Or en ces trois genres d’extase & ravissement Divin, Démoniaque, Humain. La question est, si l’ame est vrayement & reelement separee du corps, ou si demeurant en iceluy, elle est tellement occupee à quelque chose qui est hors de son corps, quelle oublie son propre corps, dont il advient une surceance & vacation de ses actions & exercice de ses fonctions. Quant à la divine l’Apostre parlant de soy & son propre faict, n’en ose rien definir : Si in corpore vel extra corpus nescio, Deus scit. Instructions qui devroient servir pour tous autres, & pour les autres abstractions moindres. Quant à la Démoniaque, ne sentir de si grands coups, & rapporter ce qui a esté faict à deux ou trois cens lieuës de là, sont deux grandes & violentes conjectures, mais non du tout necessaires: car le démon peut tant amuser l’ame & l’occuper au dedans, quelle n’ayt aucune action ny commerce avec son corps, pour quelque temps, & cependent l’affoler, & luy representer en l’imagination, tellement ce qui a esté fait long de là, qu’elle le puisse bien conter; Car d’affirmer que certainement l’ame entiere sorte & abandonne sob corps, lequel ainsi demereroit mort, il est bien hardy & choque rudement la nature, de dire que non entiere, mais la seule imaginative ou intellectuelle est emportée, & que la vegetative demeure, c’est s’embarasser encores plus, car ainsi l’ame unique en son essence, seroit divisee, ou bien l’accident seul seroit emporté & non la substance. Quant à l’humaine sans doute il n’y a point de separation d’ame, mais seulement suspension de ses actions externes & patentes.


Ce que devient l’ame, & quel est son estat apres la separation naturelle par mort: Les opinions sont diverses, & ce poinct n’est du suject de ce livre. La Metempsycose & transanimation de Pythagoras a esté anciennement embrasse par les Academiens, Stoïciens, Egyptiens & autres, non toutes fois de tous mesme sens: car les uns l’ont admise seulement pour la punition des meschans, comme se lit Nabuchodonosor changé en boeuf, par punition divine. D’autres, & plusieurs grands ont pensé que les ames bonnes & excellentes estans separees devenoint Anges, comme les meschantes, diables. Il eust esté plus doux de les dire semblebles à eux: Non nubent, sed erunt ficut Angeli. Aucuns ont dit que les ames des plus meschans estoient au bout de quelque long-temps reduites en rien: mais il faut apprendre la verite de tout cecy, de la religion & des Theologiens qui en parlent tout clairement.


und bei bayle heisst es: charron (pierre) 1730 II p.142 : Auteur d’un Livre qui a fait beaucoup de bruit, & qui a pour Titre De la Sagesse, nâquit à Paris l’an 1541,...


(p.147): Ce sera une occasion très-naturelle de raporter les deux Passages qui ont fait le plus crier contre notre Théologal : l’un concerne l’Immortalité de l’Ame, l’autre se raporte simplement à la Religion. Je croi pouvoir dire que la bonne foi, avec laquelle ce savant homme représentoit toute la force des Objections, contribua puissamment à faire douter de son Christianisme. Il est certain qu’il n’énervoit point les dificultez des Libertins. J’en donnerai un éxemple, qui se raporte aux divisions des Chrétiens, & à la haine qu’ils ont les uns pour les autres.

> montaigne > seele > unsterblichkeit der seele > seele, der sitz der > naudé > radikalaufklärung > ésprits forts > libertins > moréri

[mvs:170104/170118]

chinese cookies

life is not asking any questions
it gives answers right in your way
(mvs 000517)

there is nothing
and we have to stick to it.
(mvs 000516)

our brain works faster than
we can think
(and that’s only one aspect of the problem)
(mvs 000511)

human beings are
(almost) the only species
that can organize war.
(so much about intellectual power: the lion is the king of the animals, homo sapiens is the king and queen of aberration: stray cats : the beginning of freak shows!)
(mvs 000528)

a rolling stone collects no moss.
what a loss!
(mvs 000511)

while teddybears cry
and children try to pry
into your life
hold that knife
and tell them how to fly
(mvs 990410)

don’t trip
it might hurt your
heart.
ps: it might hurt your heart.
(mvs: 990407)

water plants
feed cats
watch the lightning
striking
ps: and shut up!
pps:
(mvs: 990408)

jump from one language
to the next
miss the point
and smile.
ps: there is no language but trying.
pps: there is no point but missing.
(mvs: 990407)

onions make you cry
so don’t you even try
or die
or get a life!
(mvs: 990407)

if you ain’t nowhere
ain’t you a lucky one!
-----
double negative
-----
if you are somewhere
take care
(mvs 990407)

if you’re there
do you know where
be aware
(mvs: 990407)

a cat and a tomcat
equals
a litter
(condom sutra)
(mvs 990407)

[mvs:0005etc.]

choice, nach joyce

was man ja wohl schon immer gewusst hat seit „ich komm von zürich, wo ja alle lügen“ und den entsprechenden paradoxien und aporien : wie soll man denn schreiben, da wir wissen, dass alle sätze, nicht zu denken an die texte, immer mehrfach zu lesen sind? joyce hat in ‚finnegans wake’ die wortverzwurbeltheit benutzt, arno schmidt die verdoppelung, hoch/tiefstellung der lettern. ich weiss auch nicht so recht : vielleicht könnte man für diejenigen, die nicht ohnehin texte ‚pluri’ lesen, ein zeichen einfügen (zb. ‚derwisch’ ist ein ‚derwisch’ und ein ‚der wisch’) so bitz obacht-sprachwitz-zeichen – vielleicht einen smily? und dann grad gar nie mehr schreiben, there is no choice : aber sprachlernprogramme find ich schön. alle. ohne ausnahme.

[mvs:060712

Cid, el

weiss weder wer es geschrieben hat, das theaterstück? noch wann genau. und ob sich der streit über modernität und alte schriftsteller daran entzündet hat. aber: damit kommt mir der satz in den sinn, der wohl mit diesem streit zusammenhängt : „warum sollten wir die alten schriftsteller lesen, sie haben uns ja auch nicht gelesen“. das ist so schön absurd = bitz recherchieren.

[mvs:060726]

clue, no fucking

röight : i never had a friggin clue about nuff’fin : haw comes that i think i know thongs about zoneZing? cause nuffing is everywhere. and thats known to everyboydoyngürl. right or right?

> stupidity, enhanced

[mvs:06....]

collectors

ein artikel in ‚The New Yorker’ berichtet von einem sammler, der wahllos magazine sammelte und eines tages unter den zusammenstürzenden büchergestellen begraben lag, bis er von den nachbarn entdeckt und von der feuerwehr befreit wurde. was hierzulande ‚messies’ genannt wird, bezeichnet TNY als ‚compulsive hoarding’, ‚the fear of getting rid of something: disposophobia’.
lit.: The New Yorker, jan.12-2004 (p.25)


[mvs:040215]


„collectors are innocent“ : ein satz, der mir immer wieder einfällt : ich weiss nicht, hab ich ihn aufgelesen oder selbstgebastelt : aber er schwirrt in der unantastbarkeit des naiven, ganz als ob es naivität geben könnte (wohl schon, ja : aber sammler sind heimlifeiss : also sicher alles andere als naiv : schlau, gewitzt, blitzschnell : selbstbewusst (selfconcious gar)).


[mvs:070720]


entsorger sind vielleicht ebenso ‚innocent’ – bar jeden besitzes - : ein anderes leben = bezüge zur sinnstiftung anders herstellen : mich wundert, was die bezüge sind : feinstoffliches : oder die seele im konzentrat? (kein geschimpfe hier – aber menschen, die so material- und luftrein sind, sind mir etwas unsubstantiell luftig (fast wie ein furz, obwohl die fürze doch wohl auf biotope zurückzuführen sind : nur schreiben sie keine romane und äussern sich auch sonst nicht bsunders zur welt).

> sammler > archiv > messies > feuerwehr

[mvs:130830]

comprehension: the lack of. the right to comprehend

verstehen ist sehr ego : aufgrund (konzentrisch, epizentrum). aber doch begründet, auf dem erlebtem, interpretierten.
rote linsen sind nach dem kochen eher goldgelb. das ist auch schön. auch verstehen.
für die linsen und das verstehen gibts viele wege : ‚die guten ins töpflein, die schlechten ins kröpflein’ : oder vice versa. und das schmackhafte goldgolden leuchtende ins köpflein.

[mvs:070514]

conversationslexikon


mit dem aufstrebenden bürgertum und dem damit verbundenen aufgeklärten kulturbegriff waren immer wissenslücken zu stopfen: dafür wurden die Conversationslexika geschaffen, die für möglichst jede wissenslücke ein stopfmittel bereit stellten.
(seit es das fernsehen gibt, existieren auch diese quizsendungen, die auf das ungeflickte wissensloch bei den kandidaten hinzielen: nach wie vor scheint die wissenslücke mit scham verbunden zu sein, die schadenfreude ist damit in einklang.)


[mvs : 030220]


in einem gewissen widerspruch zu den conversationslexica, die mit mikrologischen lemmata kurzinformationen liefern, stehen die enzyklopädien mit zum teil sehr makrologischen beiträgen (weite stichwörter), die essaiistisch grössere bereiche, oft unter philosophiphem blickwinkel, abhandeln. dies entspricht auch dem sinne der enzyklopädie (ab 1751) von denis diderot, d’alembert und ihren mitarbeitern, die im geiste der aufklärung das bürgerliche wissen des 18.jahrhunderts systematisch zusammenfassten.


[mvs:030220]

 

„Den krassen Gegensatz zu allen pragmatisch-verlegerischen Versuchen, die unüberschaubare Wissensfülle zu bändigen, bildet die philosophische Reflexion der Methoden. Sie ist freilich nicht so leicht lexikontauglich, weil sie die Erwartungen nicht erfüllt, man erhalte leicht verwertbare Informationen. Gerade nicht in der Absicht, Wissen zu vermitteln, sondern um die Geschichte der Irrtümer auf der Suche nach Wahrheit darzulegen, hat einst Pierre Bayle seinen „Dictionnaire historique et critique“ vorgelegt, [...], 1696 kam die erste französische Ausgabe heraus, 1741-44 die deutsche Übersetzung von Gottsched. Nicht auf Vollständigkeit der Wissensvermittlung zielte Bayle mit seinem Geniestreich, sondern auf die Dokumentation des Weges von Irrtum zu Irrtum auf der Suche nach Wahrheit. In der Geschichte der Lexikographie hat dies anspruchsvoll-aufklärerische Konzept in so grossen Dimensionen keine Nachfolge mehr gefunden.“
lit.: Hans-Albrecht Koch: Wissenswerte: Über Lexika, Enzyklopädien und ihre Vermehrung. NZZ 17./18.August 2002

>gänseleber > schadenfreude > nihil-einträge (u-boote)

cops

a cop walked by - sporting his/an umbrella: aren’t cops coming shot- and waterproof?
(have to ask the mayor.)

> flic(k) > irritation

[mvs:990930]

corpus (der körper)

der körper: fleisch und blut und knochen. bewegt im leben, zerfallend im tod – das feste dauert an: die knochen, das gerippe. nur: ich werde nicht dabeisein.
der körper: das geschriebene, gezeichnete, festgehaltene. das gedachte, erlebte wird erstarrt, im besten fall ganz klar und kristallin, doch vom lebendigen entbunden: in kondensierter form aufbewahrt. wie es einen erlebenden aufzeichner braucht, so braucht es einen lebenden rezipienten (decodierer, um den nachlass wieder den lebenden zugänglich zu machen. nur: ich werde nicht dabeisein.
der körper: die tradition. ich bin froh, mit vielen sprechen zu können. das angesicht zu angesicht fehlt oft, meistens. ich möchte keinen von ihnen missen. es sind wenige – sie helfen zu überleben, zum leben braucht es mehr. und: ich bin dabei.

> körper > nachlass zu lebzeiten > archive

[mvs:920922]

critic says, (the)

1. mangelhafte umrötung.
2. blasse anschnittfarbe durch verarbeitung von zu viel speck.
3. schlechte farbhaltung.


(der text ist aus einem lehrbuch für wurstwarenkontrolleure.)

> dangerous fields > wurst > kontrolle

[mvs:990606]

cuisine arabe

eine trouvaille: rené r. khawam : la cuisine arabe. wenn man sich über die essbaren teile unserer mittiere informieren will und einen einblick in das verzehrbare leben haben möchte, dann ist dieses kochbuch ein wenig einseitig : viel unité de mouton (quatre unitées de pied de mouton, tripes de mouton etc.), aber auch salat ist interessant : gekochtgekühltes cerveaux de mouton mit erbsen.). küchen sind die hölle der einen, der himmel für die anderen in der nahrungskette.

cuisine > küche > haustiere > pflanzen > pour en finir

[mvs:06....]